Saturnation

Vous ne me croirez peut-être pas mais c'est mon premier journal intime pas intime (je ne vois pas où se situe l'intimité sur internet). Je n'ai jamais eu, ni petite fille, ni ado, ni jusqu'à maintenant (on ne va quand même pas dire "vieille fille" après "jeune fille") eu le fameux petit carnet avec cadenas que l'on planque fort judicieusement sous le lit où tout le monde peut le trouver du premier coup.

Mais en fait, ce type d'écrit est très difficile à titrer.

J'avais pensé à "Noir c'est noir" mais je ne suis pas fan de Johny (et vlan, 98 % de visiteurs en moins sur le blog !) et puis surtout, je n'en suis pas réduite à ce point : j'arrive encore à varier du gris foncé au gris clair. Je ne pousserai pas jusqu'au blanc, avec l'usure, il y a des couleurs qu'on ne peut pas ravoir au lavage.

"Des tresses" me plaisait pas mal , juste pour le jeu de mot mais ça catalogue trop le blog et puis j'ai passé l'âge des tresses, maintenant je préfère ma couette.

"Dans quel état j'erre" était ma première idée, ça correspondait bien à mes questionnements sur ma position au sein de la société, sur la société elle-même...mais pas la peine que je développe, il y en  un qui est passé devant moi et qui a déjà pris ce nom.

"Saturation" , très évocateur et à l'origine de la création du blog : une goutte d'eau qui a fait déborder le vase, un devoir de réserve qui me dégoutte aussi.

Mais bien évidemment, le nom était déjà pris aussi, alors, comme je ne sais plus vraiment sur quelle planète je vis, j'ai opté pour "Saturnation".

Oui, je sais, je suis spécialiste en jeux de mots lourds et vaseux, mais comme c'est un journal intime ce n'est pas grâve. Personne n'est forcé d'entrer dans mon intimité.

Si je voulais attirer du monde :

1) J'arrêterai mes jeux de mots foireux

2) Je parlerai de quelqu'un d'autre que de moi (Johny par exemple lol)

3) Je donnerai des recettes faciles pour fabriquer des bombes artisanales.

Vous ne me croirez peut-être pas mais c'est mon premier journal intime pas intime (je ne vois pas où se situe l'intimité sur internet). Je n'ai jamais eu, ni petite fille, ni ado, ni jusqu'à maintenant (on ne va quand même pas dire "vieille fille" après "jeune fille") eu le fameux petit carnet avec cadenas que l'on planque fort judicieusement sous le lit où tout le monde peut le trouver du premier coup.

Mais en fait, ce type d'écrit est très difficile à titrer.

J'avais pensé à "Noir c'est noir" mais je ne suis pas fan de Johny (et vlan, 98 % de visiteurs en moins sur le blog !) et puis surtout, je n'en suis pas réduite à ce point : j'arrive encore à varier du gris foncé au gris clair. Je ne pousserai pas jusqu'au blanc, avec l'usure, il y a des couleurs qu'on ne peut pas ravoir au lavage.

"Des tresses" me plaisait pas mal , juste pour le jeu de mot mais ça catalogue trop le blog et puis j'ai passé l'âge des tresses, maintenant je préfère ma couette.

"Dans quel état j'erre" était ma première idée, ça correspondait bien à mes questionnements sur ma position au sein de la société, sur la société elle-même...mais pas la peine que je développe, il y en  un qui est passé devant moi et qui a déjà pris ce nom.

"Saturation" , très évocateur et à l'origine de la création du blog : une goutte d'eau qui a fait déborder le vase, un devoir de réserve qui me dégoutte aussi.

Mais bien évidemment, le nom était déjà pris aussi, alors, comme je ne sais plus vraiment sur quelle planète je vis, j'ai opté pour "Saturnation".

Oui, je sais, je suis spécialiste en jeux de mots lourds et vaseux, mais comme c'est un journal intime ce n'est pas grâve. Personne n'est forcé d'entrer dans mon intimité.

Si je voulais attirer du monde :

1) J'arrêterai mes jeux de mots foireux

2) Je parlerai de quelqu'un d'autre que de moi (Johny par exemple lol)

3) Je donnerai des recettes faciles pour fabriquer des bombes artisanales.

      "Le petit bonhomme courage" par Myriam Gravier chez thebookedition.com

       14,90 euros, 256 pages  

    La vie de Tristan. Une vie pas comme les autres ? Pas si sûr car si sa maladie est rare, si l'on regroupe tous les enfants qui sont touchés par une maladie plus ou moins rare, cette vie représente aussi le quotidien de nombreuses familles.

Avec un ton souvent humoristique, parfois cynique, on n'échappe pas non plus totalement au dramatique car le sujet est riche en émotions, ce témoignage aborde en toute simplicité les moments douloureux mais aussi de joie précieuse.

La peur, l'amour et les coups de gueule sont omniprésents, on y parle du bon et du mauvais, que cela concerne le corps médical ou les administrations, les contacts humains plus ou moins compliqués, le retentissement sur la famille, l'entourage, le travail, la vie quoi ! Ce récit n'est pas toujours objectif, il faut bien le dire : priorité au ressenti personnel !

On y évoque aussi avec insistance des problèmes de société très actuels : la prise en charge de la douleur, la fin de vie (avec notamment l'application de la loi Léonetti).

Et SURTOUT c'est un hommage au courage de ces enfants qui se battent, que chaque famille concernée reconnaîtra, des petits bouts qui pourraient servir d'exemple à de nombreux adultes.

   Pourquoi ne pas inverser les rôles de temps en temps ? ;.D

Pâques ou l'Aïd, tout est prétexte à les transformer en gigot. Si la réincarnation existe, pas en mouton SVP  !!! ;.D

J'avais extrêmement peur que l'on m'oublie ! ;.D

J'ai craqué sur cette image d'humour un peu noir en me disant : "il est comme moi celui-là, il en a marre de la vie mais il n'est pas pressé non plus d'en finir ! ". J'ai trouvé une solution moins contraignante et plus efficace  : le cholestérol. Quand on sait que le cholestérol est l'ennemi public numéro 1, la première cause de décès en France, tant qu'à avoir du temps devant soi, mieux vaut le passer à s'empiffrer de trucs pas bon pour le corps mais trop bon au goût...plutôt que d'arroser un arbre . Non ?

"Lorsqu'un minable s'attaque à un autre minable, il faut s'attendre à une guerre "inter-minables".

Dimanche il faut aller voter, faire notre devoir de citoyen, enfin notre corvée de citoyens. Le problème est que je n'ose plus voter, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre.

Je ne vous ferais pas un article 

sur la politique mais anti-politique.

Vous me direz, ce ne sont pas des présidentielles, ce ne sont "que" des municipales mais les municipalités ont de plus en plus de pouvoir et de charges dont on se débarrasse au niveau national.

La nouveauté de cette année pour beaucoup de municipalités est de mettre en place la semaine scolaire à 4,5 jours avec un gros investissement financier pour mettre en place des structures d'accueil pour les enfants (ou pas).

Le gag est que, il faut voter et la municipalité fera son choix après. Ce n'est pas beau cette façon de faire ?

Et puis en bas de l'échelle, on se chipote aussi, on suit l'exemple du haut : je dénonce tes coucheries, je dénonce tes magouilles,  on se remplit les poches, on a notre retraite assurée..etc. 

Et nous dans tout ça ? Quand est-ce qu'ils prendront le temps de regarder leurs électeurs au lieu de s'arracher les bouts de viande ? Aura-t-on le droit aux restes ?

"Parfois nos yeux doivent être lavés par nos larmes afin que nous puissions voir la vie avec une vision plus claire à nouveau" (Alex Tan)

Entre a ceux qui disent que les larmes brouillent la vue et ceux qui disent que pleurer nous éclaircit les idées...avec ça, on n'est pas aidé ;.D

N'empêche, ça fait du bien de pleurer parfois, c'est un moyen pas plus honteux qu'un autre de se vider d'un trop plein d'émotions. Il vaut mieux pleurer que de déverser ses frustrations sur les autres.

Il y a un autre avantage ausssi : pleurer fatigue, alors si on a une crise de larmes au moment de se coucher (la petite crise du soir), pas besoin de prendre un bonbon pour dormir. ;.)

Vaste sujet.

J'entends beaucoup parler des fameux amis virtuels, certains critiquent ouvertement en disant que ce sont de faux amis, d'autres qu'ils les aident beaucoup.

Il me semble que les deux partis ont raison car il en est de même pour les amitiés non virtuelles.

Quand j'entends dire "je compte beaucoup sur mes amis", je tique toujours parce que si c'est dans le monde virtuel, le nombre ne fait pas l'ami (combien ont des centaines d'"amis" sur Facebook juste parce qu'ils cliquent j'accepte à chaque demande sans savoir à qui ils vont raconter une partie de leur vie intime ?). Il est en revanche, il faut bien l'avouer,  souvent beaucoup plus facile de parler avec des personnes que l'on connaît pas mais avec qui on se découvre des points communs...qu'avec la famille ou les amis que l'on fini toujours par saoûler avec nos problèmes, qui finissent par le dire et qui nous vexent. Donc, pour finir,  on ne leur parle plus que de choses superficielles.

De même , les vrais amis, les proches à qui on dit tout, sur qui on s'appuye peuvent vous lâcher du jour au lendemain et là s'est le vide sidéral, la perte d'équilibre.

Les amis, quelqu'ils soient, c'est toujours bien mais il ne faut pas compter sur eux pour mener sa vie. Chaque individu doit pouvoir mener seul sa barque et ne pas couler quand il perd un ami. L'amitié doit  étre prise avec bonheur comme un bonus dans la vie mais pas comme un organe vital ;.)